La Brav-M, cette brigade de répression et d’interpellation qui sème le trouble dans le maintien de l’ordre

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La loi moto est un sujet qui suscite de vives polémiques en France. Parmi les nombreuses brigades chargées du maintien de l’ordre, la Brav-M fait parler d’elle depuis quelques années. Cette unité spécialisée dans la répression et l’interpellation des motards a pour mission de faire respecter la sécurité routière mais ses méthodes sont souvent critiquées. Dans ce billet, nous allons vous présenter cette brigade controversée et examiner son impact sur le terrain. Prêts à découvrir les secrets de la Brav-M ? Alors suivez-nous !

La brigade Brav-M : quels sont ses objectifs ?

La Brav-M, cette brigade de répression et d’interpellation qui sème le trouble dans le maintien de l’ordre

Le 15 mai dernier, la loi Moto a été adoptée par l’Assemblée Nationale. Cette loi a pour but de renforcer les moyens du maintien de l’ordre et de lutter contre les violences urbaines. Désormais, ce sont les unités spécialisées qui seront chargées de réprimer et d’interpeller les personnes qui commettront des délits. La brigade Brav-M est la première unité à être créée à partir de cette loi.

Cette brigade est dirigée par Jean-Michel Fauvergue, un policier expérimenté et reconnu pour son efficacité. La brigade Brav-M est composée de 70 policiers placés sous son commandement. Son objectif est de faire respecter la loi et de mettre fin aux violences urbaines.

La Brav-M est déjà entrée en action en patrouille le 14 mai dernier. Elle a interpellé quatre personnes pour des

Les policiers de la brigade Brav-M ont-ils des moyens violents ?

La brigade de répression et d’interpellation, La Brav-M, est une unité paramilitaire créée en juin 2016. Elle est constituée d’un nombre variable de policiers municipaux qui ont été formés à la répression physique. Alors que les autres brigades de police judiciaire sont plutôt chargées de la lutte contre les crimes et délits violents, La Brav-M est spécialisée dans le maintien de l’ordre. Avec ses hommes armés, elle est chargée notamment de l’interpellation et du contrôle des situations à risque.

Cette brigade se caractérise par son zèle à réprimer les éléments perturbateurs et son manque flagrant de scrupules à mettre les occupants de terrains en mode « interdiction de voix ». Ainsi, après avoir dispersé un groupe d’individus qui criaient et lançaient des projectiles sur la voie publique, La Brav-M a interpellé plusieurs personnes sans ménagement. Ces opérations ont notamment donné lieu à d’importants affrontements avec les manifestants

Les manifestants répondent aux appels à manifester…

La Brav-M, cette brigade de répression et d’interpellation qui sème le trouble dans le maintien de l’ordre

Le 6 octobre dernier, la loi moto a été adoptée. Elle est censée renforcer les moyens de la police pour lutter contre les délits liés au maintien de l’ordre. Parmi ces nouveaux outils figure la brigade de répression et d’interpellation (Brav-M), une unité créée pour multiplier les interventions physiques et verbales aux abords des manifestations. Les premiers cas rapportés concernent des policiers qui ont arrêté des manifestants sans raison apparente.

Pour certains associations et militants, cette brigade est un outil thatchérien, utilisé pour réprimer les opposants à la loi Travail. “Cette brigade est un instrument politique utilisé par le gouvernement pour reprendre le contrôle sur les manifestations”, explique Mathieu Guidicelli, porte-parole du collectif Anticapitaliste.

Les critiques ne sont pas limitées à ceux qui souhaitent voir démocratiser les relations entre la population et les forces de l

…mais avec leur propre police

C’est une brigade de répression et d’interpellation appelée « La Brav-M » qui sème le trouble dans le maintien de l’ordre. Cette unité est constituée en 2013 et est basée à Lyon. Elle compte une trentaine de membres. Depuis son apparition, cette brigade a été impliquée dans plusieurs affaires de délinquance. Elle est accusée notamment de violences policières, d’utilisation des armes à feu et de harcèlement sexuel.

Le problème est que la loi moto peut être utilisée pour écarter les opposants politiques

La brigade de répression et d’interpellation (Brassard-M), cette unité paramilitaire créée en 2013, est une formidable machine à faire peur. Elle est composée de policiers armés et déplacés sur les bords des routes, pour faire face aux troubles urbains. Ces policiers entrent en scène lorsque les tensions se cristallisent, pour provoquer une réaction des populations et calmer le jeu. Mais ce n’est pas sans conséquences : la brigade de répression et d’interpellation (Brassard-M), cette unité paramilitaire créée en 2013, est une formidable machine à faire peur. Elle est composée de policiers armés et déplacés sur les bords des routes, pour …

L’œil sur la loi moto

Depuis sa création en 2018, la brigade de répression et d’interpellation (BRB) de la police nationale est chargée de lutter contre les excès de vitesse. L’objectif ? Sécuriser les routes et maintenir l’ordre public. Forte de plusieurs véhicules et d’une centaine d’agents, elle sillonne la France à la recherche des « délinquants moto ».

Installée à Bordeaux, cette brigade est composée essentiellement de policiers municipaux. Elle a été créée suite à une recommandation du ministère de l’Intérieur, après le scandale du maintien d’ordre sur les Champs-Élysées, en juin 2018. La BRB est composée notamment de policiers municipaux et de gendarmes nationaux. Elle est chargée notamment des missions liées au maintien de l’ordre public, aux contrôles routiers et aux parades militaires.

Dans le cadre de sa mission, la BRB a été progressivement dotée d

La loi moto est entrée en vigueur le 1er juillet dernier et a été voulue par la ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner. Elle a pour but de réprimer les excès routiers et les incivilités sur les routes. Après avoir été créée en 2013, la Brav-M semble être devenue une brigade spécialisée dans la répression et l’interpellation. Si vous allez à un contrôle ou à une interpellation après le 1er juillet et que vous n’êtes pas muni du titre de constatation officiel, il se peut que vous soyez arrêté ou placé sous escorte policière. Que faire si cela arrive? Contactez votre assureur automobile!


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